L’aspect organisationnel me plait beaucoup. Il n’y a pas une organisation type imposée, nous avons beaucoup d’autonomie, nous sommes libres de gérer nos priorités et on nous fait confiance. Cette façon de travailler créée une réelle cohésion.
Comme Thibaud, vous souhaitez nous rejoindre ?
Quand avez-vous rejoint l’entreprise FIDEMECA et qu’avez-vous découvert ?
J’ai rejoint FIDEMECA le 25 octobre 2021 à l’âge de 22 ans. J’y ai découvert de nouvelles méthodes de travail différentes des trois dernières entreprises où j’ai travaillé. Chez FIDEMECA, nous travaillons avec des embarreurs qui récupèrent et acheminent les pièces sans avoir besoin d’ouvrir les machines. Cette différence privilégie la rapidité de la production.
Comment décririez-vous votre métier ?
Je fais mon métier par passion. A mes yeux, ce n’est pas un métier qu’on choisit par défaut. Pour ma part, j’ai choisi de faire ces études et je suis très content d’être ici. Dans ce métier, il ne faut surtout pas être paresseux puisque le réglage, le contrôle, doivent être réalisés très sérieusement. Il faut réussir à lire un plan correctement pour usiner la pièce. Pour exercer ce métier, une formation est nécessaire car il s’agit d’un métier très technique. C’est pourquoi j’ai réalisé un Bac pro technicien d’usinage puis un BTS en apprentissage.
Aujourd’hui, je travaille sur des machines mono-broche.
Quel est votre environnement de travail ?
Je travaille dans l’atelier de production sur l’ilot mono-broche. Je suis usineur sur des tours à commande numérique. Je travaille également avec un apprenti que j’accompagne dans sa formation.
Sur cet ilot, l’ambiance est chaleureuse et bienveillante, j’ai été mis à l’aise dès le départ par mes collègues.
Qu’est-ce qui vous plait chez FIDEMECA ?
Il y a plusieurs aspects qui me plaisent chez FIDEMECA. Tout d’abord, sur le plan technique, le parc machine est très impressionnant. D’autre part, l’aspect organisationnel me plait beaucoup. Il n’y a pas une organisation type imposée, nous avons beaucoup d’autonomie, nous sommes libres de gérer nos priorités et on nous fait confiance. Cette façon de travailler créée une réelle cohésion d’équipe, il n’y a pas de stress. Entre collègues les relations sont bienveillantes, il n’y a pas de tensions.
Quel aspect de votre travail appréciez-vous le plus ?
J’apprécie ne pas être contraint à suivre une organisation, ce qui prouve que nos responsables nous font confiance.
Quelles sont les qualités requises pour réaliser ce métier ?
Dans le métier d’usineur-tourneur, il faut savoir se remettre en question quotidiennement et vérifier son travail, nous n’avons pas le droit à l’erreur. Il faut également faire preuve de rigueur, de concentration. Nous apprenons tous les jours, il faut donc rester attentif à chaque instant.
Quel regard portez-vous sur votre parcours chez FIDEMECA ?
Depuis mon arrivée chez FIDEMECA, je travaille sur des machines où tout le monde a débuté. Si j’en ai la capacité, j’aimerais évoluer sur d’autres machines. Sur l’ilot mono-broche il y a neuf machines et j’aimerais toutes les connaitre. Mon envie est avant tout d’être usineur dans un premier temps, puis pourquoi pas évoluer vers d’autres postes dans l’entreprise !
A mon arrivée, j’ai été formé par toutes les personnes de l’ilot et à présent je forme un apprenti. Le fait d’avoir un apprenti me force à être encore plus rigoureux.
Quel évènement vous a le plus marqué ?
Ce qui m’a le plus marqué c’est mon entretien d’embauche. La personne qui m’a reçu m’a fait visiter toute l’entreprise. Je n’ai jamais vu un parc machine aussi complet, aussi grand. FIDEMECA possède des matériels de contrôle extrêmement précis et en grand nombre, et des machines performantes. J’ai trouvé cela vraiment incroyable et m’a tout de suite donné envie d’évoluer.
Le deuxième fait marquant serait mon arrivée sur les machines quand tout le monde m’a accueilli.
Quel(s) conseil(s) pourriez-vous donner à un nouveau collaborateur ?
Je lui conseillerais de ne pas hésiter à demander de l’aide. Chez FIDEMECA, les gens sont ouverts, bienveillant et acceptent les erreurs quand elles permettent de progresser à titre personnel et collectivement. Tant qu’on est franc et qu’on essaie de donner le maximum, il n’y aura pas de problèmes. Il n’y a pas de honte, faire des erreurs nous apprend à être meilleur.